L’équipe

Marianne Bloch-Robin

Marianne Bloch-Robin est Maîtresse de conférences à l’UFR d’Études Ibériques et Ibéro-américaines de Sorbonne Université. Spécialiste de cinéma espagnol et latino-américain, sa recherche porte principalement sur le rôle de la musique au cinéma, mais elle s’intéresse également à l’espace filmique et à la ville au cinéma. Elle travaille également sur la mémoire, l’histoire et le cinéma, les représentations filmiques de la femme et sur le genre dans les films de fiction et les documentaires. Elle est l’auteur de nombreux articles et de chapitres d’ouvrages sur le cinéma espagnol et latino-américain et a publié, en 2018, une monographie intitulée Carlos Saura. Paroles et musique au cinéma, aux Presses Universitaires du Septentrion.

Véronique Pugibet

Maîtresse de conférences (CRIMIC – Sorbonne Université). Elle a longtemps travaillé sur l’iconographie présente dans les manuels scolaires d’espagnol en France (construction d’une représentation de l’hispanité, représentation du corps, des femmes, d’événements historiques…) et la transmission du cinéma à l’École. Puis sa recherche s’est orientée vers les cinémas d’Amérique latine (Mexique-Chili). Elle s’intéresse tant aux films de fiction qu’aux documentaires mexicains, à la question du genre et des stéréotypes culturels ainsi qu’à la représentation de l’espace urbain et de la ville au cinéma.

Marianne Kac-Vergne

Université de Picardie – Jules Verne

David Lipson

Maître de conférences, à l’Université de Strasbourg, membre de SEARCH, (EA 2325). Il a obtenu un doctorat à Paris III Sorbonne Nouvelle sur les films documentaires de Michael Moore. Ses recherches actuelles portent sur le politainment, la satire politique, l’histoire et les études des médias, ainsi que sur l’histoire américaine contemporaine. Il a publié différents articles sur Michael Moore, Frederick Wiseman ainsi que sur late-night TV.

Béatrice Grossi

Cinéma Le Studio

Louis Augendre

Institut des Amériques

Diplômé d’un master de Management de Projets Internationaux de l’Université Sorbonne Nouvelle, j’ai rejoint l’Institut des Amériques en 2020 en tant que soutien à l’équipe valorisation de la recherche. Je suis aujourd’hui en charge de la commission Partenariats et des actions de l’Institut qui y sont rattachées.

Marion Magnan

Institut des Amériques

Les doctorant.e.s

Camila Melo Felgueres

CY Cergy Paris Université

Soukayna Mniai

Doctorante à l’Université Paris Nanterre. Laboratoire de recherche : Centre de Recherches Anglophones (CREA). Disciplines : histoire des Etats-Unis et études sur le genre.

Ma thèse porte sur les luttes contre les violences sexuelles en milieu universitaire dans la région de Los Angeles depuis les années 1970.

Sabina Nasser

Doctorante à l’Université de Montpellier Paul Valéry 3. Laboratoire de recherche RIRRA21. Discipline : Arts visuels- Études cinématographiques et audiovisuelles. 

Spécialiste de cinéma, mes recherches portent sur l’espace filmique comme le fruit d’un milieu culturel dans lequel il s’insère. Je travaille sur l’histoire, la mémoire et tout ce qui peut donner sens et pousser à envisager les représentations filmiques, fictions ou documentaires, comme un document de témoignage sur une société donnée. Je m’intéresse surtout à la question de genre et à la représentation des corps féminins à l’écran. La thématique traitée par le festival me donne l’opportunité de découvrir des documentaires engagés et sociétaux spécifiques aux politiques des cultural and gender studies.

Lucie Pallesi

Doctorant.e à l’Université Paris-Saclay. Laboratoire de recherche CIAMS (Complexité, Innovation, Activités Motrices et Sportives). Disciplines : sciences du sport et du mouvement humain, sociologie.

Mes recherches portent sur la transidentité dans le sport de compétition, dans une perspective de sociologie des sciences, études de genre et études trans, et sociologie du sport. Elles abordent les controverses internationales autour de l’inclusion des personnes trans dans le sport de haut niveau, et les mobilisations scientifiques, juridiques et politiques qu’elles entraînent. De manière plus globale, je m’intéresse à la manière dont le sport est le lieu de réactualisation de croyances en une naturalité de la différence des sexes.

Laure Perez

Laure Pérez est agrégée d’espagnol et doctorante au CRIMIC (Sorbonne Université).

Elle travaille sur la représentation des femmes dans le cinéma documentaire et l’audiovisuel cubain de 1959 à 1990, notamment dans le Noticiero ICAIC Latinoamericano (les actualités cinématographiques de la Révolution cubaine), sous la direction de Nancy Berthier. Elle a publié les articles “Nuevas figuras de la Revolución cubana: las mujeres en el Noticiero
ICAIC Latinoamericano, 1960-1990”, dans la Revista internacional de Historia de la Comunicación (RiHC), n°15, second semestre 2020, dossier “Mediaciones políticas y culturas mediáticas en el ámbito hispánico (siglos XIX-XXI)”, p. 66-86 https://doi.org/10.12795/RiHC.2020.i15.04 et «“La Revolución la hicieron los hombres, los machos” : la remise en cause du machisme dans De cierta manera (1974-1977), de Sara Gómez », Iberic@l, revue d’études ibériques et ibéro-américaines, n°18, automne 2020, dossier Genre et Images dans le
monde ibéro-américain II, p. 77-90 (CRIMIC – Sorbonne Université ) https://
iberical.sorbonne-universite.fr
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Antoine Simms

Doctorant à l’Université Paris-Nanterre. Laboratoire de recherche : CREA. Disciplines : Arts visuels et civilisation américaine.

Mes recherches ont pour objet l’influence du clip sur la littérature et le cinéma états-uniens dans les années 1980.

Carla Toquet

Carla Toquet est doctorante agrégée au CREA (Université Paris Nanterre).

Son travail porte essentiellement sur les œuvres « documentaires » de l’auteure afro-américaine Jesmyn Ward et de la réalisatrice afro-américaine Ava DuVernay. Ses recherches, au croisement entre littérature et cinéma, mettent en perspective le rapport entre fiction et documentaire dans les œuvres de son corpus, afin d’analyser l’émergence d’un féminisme noir contemporain qui, à contre-courant, pour s’affirmer en tant que tel, s’attacherait paradoxalement à mettre en relief la complexité de la masculinité noire étatsunienne, aux prises avec un racisme systémique.